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Mémoires et Œuvres théologiques de l’archevêque Basile (Krivochéine)

Mgr. Basile (Krivochéine), archevêque de Bruxelles et de Belgique, est l’un des prélats les plus marquants dans l’histoire de l’Eglise Orthodoxe Russe de la deuxième moitié du XX siècle.

L’un des cinq fils d’Alexandre V. Krivochéine, ministre de l’agriculture (1908-1915), Vsevolod, de son nom dans le monde, refusa d’accepter le putsch bolchevik d’octobre 1917, il s’engagea dans les rangs de l’Armée Blanche afin de délivrer le pays du joug communiste.

Il du en 1920 s’exiler en France où il s’inscrivit à la faculté des lettres de la Sorbonne. Ses liens avec la Russie, son amour du pays restèrent intacts et l’incitèrent à une étude approfondie de l’histoire de la Russie, à s’imprégner de la spiritualité, des traditions, de l’orthodoxie russe.

En 1924, à la suite d’un pèlerinage au Mont Athos, il décide d’apporter ses vœux et devient moine au monastère russe Saint Panteleimon à la Sainte Montagne. Dès le début de sa vie monastique son exploit spirituel est marquant. Très rapidement de nouveaux talents commencent à se manifester dans le jeune moine. il est élu membre du Conseil du monastère, par la suite il représente « Saint Panteleimon » au « Parlement » du Mont Athos (1942-1945), par la suite il devient membre du « gouvernement » de cette République monacale (1944-1945). Le don principal accordé par le Seigneur au hiéromoine Basile était l’amour du patrimoine qui nous a été laissé par les Pères de l’Eglise. Il se consacre à la patrologie et c’est en 1936 que parait sa première étude (1). Le futur Mgr Basile a été pendant plus d’un quart de siècle un véritable athonite, il le restera jusqu’à la fin de ses jours.

En 1951 l’Eglise Mère appelle le moine Basile à la fonction sacerdotale. Il est fait hiéromoine et nommé dans la paroisse d’Oxford. Par la suite, en 1957, l’archimandrite Basile (Krivochéine) est sacré évêque et élu vicaire de l’Exarchat de l’Eglise orthodoxe Russe en Europe Occidentale. A partir de 1960 il est à la tête du diocèse de Bruxelles et de Belgique.

Mgr Basile a dit lors de son allocution après son sacre. « Je suis heureux d’appartenir à l’Eglise Orthodoxe Russe, Patriarcat de Moscou, l’Eglise des confesseurs de la foi en le Christ, l’Eglise qui porte haut le flambeau de la Sainte Orthodoxie […], je suis persuadé que notre présence en Europe Occidentale n’est pas due au hasard, elle déterminée par la Providence Divine. Nous nous devons de témoigner de la vérité de la Foi Orthodoxe aux yeux des peuples de l’Occident, de propager cette foi dans le milieu hétérodoxe qui est le notre, de contribuer à l’apparition et au renforcement de l’Orthodoxie Occidentale ayant en vue la réunification de tout le monde chrétien en une Sainte Eglise Catholique et Apostolique » (2). L’archevêque Basile resta à la tête de ce diocèse pendant vingt cinq ans.

Pendant de nombreuses décennies Mgr Basile est resté l’infatigable et dévoué serviteur de l’Eglise. Son sacerdoce ne l’a pas fait interrompre son travail de recherche. Il n’a jamais été un savant détaché de la réalité, reclus dans sa bibliothèque. Toujours passionné pour les lettres, la politique, il a participé à de nombreuses rencontres interconfessionnelles. Il a été un observateur attentif du Concile Vatican II. D’une immense culture, maîtrisant les langues, l’archevêque Basile avait de nombreux amis catholiques, des interlocuteurs de tous bords. Profondément enraciné dans la tradition orthodoxe, dans la foi des Pères de l’Eglise qui, selon le père Antoine Lambrechts, étaient « sa véritable Patrie en ce monde » (3) Mgr Basile était immuablement ouvert au dialogue. « A un dialogue théologique authentique », comme il le disait lui-même, aux contacts qui, enfin, ouvriront la voie de l’unité chrétienne.

La chute du joug communiste a rendu possible la parution en Russie de l’œuvre théologique de Mgr Basile ainsi que de ses mémoires. Les efforts de son neveu Nikita ainsi que de Xenia Krivochéine les textes de Mgr Basile datant d’époques différentes ont pu être réunies et éditées. Ce n’est qu’à la suite de ces publications que nous avons pu apprécier toute la richesse du patrimoine spirituel que nous a laissé ce remarquable homme d’Eglise. Études patrologiques relevant de nombreux domaines dont Mgr Basile fut le premier explorateur ; interventions dans le cadre de conférences panorthodoxes et interconfessionnelles, la voix de ce théologien éminent y était celle de l’Eglise Orthodoxe dans sa plénitude ; mémoires consacrées à la guerre civile et aux Armées Blanches ; récits de ses rencontres avec les hiérarques de l’Eglise Russe à l’époque des persécutions communistes… Mgr Basile disait et écrivait immuablement ce qu’il pensait, quelles que soient les personnes mises en cause ou les circonstances.

Certains passages de ses mémoires peuvent au prime abord paraître excessivement rudes et critiques. Il faut cependant ne pas oublier que le vrai pays de Mgr Basile était la Russie qu’il avait défendue les armes à la main, volontaire des unités du général Denikine. C’était la Russie qu’il aimait et il n’en reconnaissait point d’autre. Jamais il n’a accepté des compromissions avec la politique de l’Etat soviétique consistant à juguler la liberté de parole et d’action dans le pays comme dans l’Eglise. Il fut l’un des rares à élever sa voix en la défense d’Alexandre Soljenitsyne (4) et de l’archiprêtre Dimitri Doudko (5), de tous ceux qui protestaient contre la volonté du régime soviétique de se servir de l’Eglise pour justifier sa politique. Il a même mérité le surnom « d’antisoviétique rouge » pour sa fidélité inébranlable au Patriarcat de Moscou. La voix de ce grand prélat a signifié beaucoup pour l’Eglise Orthodoxe Russe de l’époque alors qu’elle-même se trouvait réduite au silence et ne pouvait témoigner de ses souffrances. Toujours et partout, Mgr Basile a défendu son Eglise Mère qu’il ne se considérait pas en droit de juger et à laquelle il est resté fidèle jusqu’à la fin. On pourrait supposer que l’archevêque Basile ne se rendait pas entièrement compte des relations qui s’étaient établies entre l’Eglise et l’Etat en ex URSS. Il nourrissait probablement certaines illusions quant aux possibilités de l’Eglise de protester, d’exposer ouvertement ce qu’elle pense de ceci ou de cela. Il avait le sentiment que les responsables de l’Eglise russe se montraient parfois trop conciliants à l’égard du régime athée qui aspirait à faire disparaître toute trace de toute religion dans le pays. Il est à regretter que Mgr Basile n’avait pas pleinement conscience de la pesanteur du fardeau que l’Eglise devait porter sur ses épaules pendant toutes ces décennies de persécutions. Ce qui en Occident était considéré comme relevant d’un dialogue naturel et normal était perçu en URSS comme un crime de lèse Etat méritant les châtiments les plus cruels. L’Eglise était tenue de donner le change, de faire semblant qu’elle était libre dans l’exercice de sa mission en Russie soviétique, qu’elle n’éprouvait pas la moindre pression. Tel était le prix qu’elle devait payer pour maintenir en vie des structures institutionnelles étriquées et fragiles qui n’avaient pas encore été totalement démantelées. La moindre critique à l’égard du régime risquait d’amener la fermeture d’encore un séminaire, or, on n’en comptait que trois à l’époque, le « dèserengistrement » de la seule et unique grande église d’une agglomération urbaine, le refus d’approuver le sacre d’un nouvel évêque. Si Mgr Basile qui n’était pas citoyen soviétique se considérait tout à fait libre et non entravé dans l’expression de ses positions, le pouvoir soviétique avait une perception entièrement opposée. ce que disait Mgr Basile était au regard du régime athée l’expression de l’opinion de l’Eglise russe dans son ensemble, les hiérarques devaient payer au prix fort chaque mot de critique formulé par l’archevêque Basile en Occident.

Ce n’est qu’une seule fois que j’ai eu le bonheur de voir Mgr Basile. C’était à Moscou, en 1985, lors de son dernier voyage en URSS. Il avait été invité à dire la divine liturgie dans l’une des églises de la capitale, non loin de l’actuelle basilique du Christ Sauveur (ce terrain était à l’époque celui de la grande piscine publique « Moskva ». Les jeunes orthodoxes connaissaient bien le nom de l’archevêque de Bruxelles. Lorsque j’ai appris que cet office aura lieu je me suis rendu dans la paroisse en question. J’y ai vu un homme très âgé, à la chevelure blanche, des lunettes à la monture sombre. Quelques jours plus tard j’apprenais que Mgr Basile avait été rappelé à Dieu lors de son séjour à Leningrad. J’avais alors dix huit ans. Ni moi, ni personne ne pouvaient alors imaginer que quelques années plus tard commencera pour l’Eglise Orthodoxe Russe la renaissance dont rêvait Mgr Basile. Je ne pouvais savoir que quinze ans après le décès de Mgr Basile (Krivochéine) nous verrons la basilique du Christ Sauveur s’élever à nouveau sur le terrain occupé à l’époque par la piscine publique. Je ne pouvais même supposer que les ouvrages de Mgr Basile, ses œuvres théologiques, ses mémoires qui en URSS ne nous étaient accessibles que sous la forme de publications interdites ou de samizdat seraient éditées et mis en vente dans les librairies russes. Il va de soi que je ne pouvais savoir qu’un quart de siècle plus tard je serai sollicité pour rédiger la préface de l’édition française des mémoires de Mgr Basile.

***

Mgr Basile (Krivochéine) remarquable prélat orthodoxe russe a consacré de nombreuses années de sa longue existence terrestre à l’étude du patrimoine des Pères de l’Eglise. La vie de Mgr Basile, le Seigneur lui ayant imparti d’en passer une longue période loin de sa patrie, a coïncidé avec l’époque où les chercheurs européens commençaient seulement à s’intéresser à nouveau aux écrits des Pères. Ce regain d’intérêt s’est manifesté chez les théologiens catholiques comme chez leurs collègues orthodoxes.

L’archevêque Basile a commencé à s’imprégner des textes patristiques lorsqu’il faisait partie de la communauté du Monastère Saint Panteleimon à la Sainte Montagne (6). Le Mont Athos représente « une République monacale » unique dans son genre, voila plus de mille ans que les frères y mènent une vie d’ascèse et de prières. Une collection richissime de manuscrits chrétiens y a été réunie. De nombreux monastères athonites dont le monastère russe Saint Panteleimon détiennent des archives d’une immense valeur. Ces manuscrits, lorsque le futur Mgr Basile a choisi de se faire moine, n’étaient pratiquement ni décryptés, ni répertoriés. Le frère Basile, simple moine, se mit, dès son installation au Mont Athos, à travailler dans les bibliothèques, à se consacrer au dépouillement de ces archives.

On ne saurait réduire la personnalité de Mgr Basile à celle d’un homme d’Eglise ou d’un savant, c’est là toute sa particularité. Il conjuguait en lui ces deux hypostases, phénomène malheureusement rare dans la tradition orthodoxe. Lorsque Mgr Basile du, ayant quitté le Mont Athos, vivre en Europe Occidentale il y collabora avec de nombreux patrologues. Ceux-ci n’avaient pas la richesse spirituelle que Mgr Basile avait acquise pendant les vingt années et quelques qu’il avait vécues au Mont Athos.

Les Pères grecs ont fait l’objet d’une étude scientifique méticuleuse de Mgr Basile. Il a consacré des études à Basile le Grand, à Grégoire de Nycée, aux « Catéchèses de Macaire », à Saint Syméon le Nouveau Théologien ainsi qu’ à Grégoire Palamas. C’est à ces deux derniers que Mgr Basile consacrera ses études les plus poussées.

Pour nombre d’entre nous ces noms sont maintenant connus. Mais il nous faut savoir qu’à l’époque de Mgr Basile, surtout lorsqu’il entamait ses travaux ces auteurs étaient pratiquement méconnus. Ces Pères étaient peu lus non seulement par les lettrés mais aussi parmi les gens d’Eglise. S’il s’agit de Saint Grégoire Palamas auquel Mgr Basile a consacré son premier ouvrage, cet auteur était à l’époque fort peu pratiqué (7).

Bien que Saint Grégoire Palamas ait toujours occupé une place très importante dans l’orthodoxie, son enseignement spirituel, son œuvre littéraire étaient pratiquement ignorés des milieux orthodoxes du début du XX siècle. Même les spécialistes ne connaissaient pas Grégoire Palamas. Des auteurs tels que Martin Jugie le mentionnaient plutôt avec condescendance et dans un ton très critique (8). C’est à cette époque que le moine Basile devint sinon le premier, du moins l’un des premiers, à entamer une étude en profondeur de l’œuvre de Saint Grégoire Palamas. Il s’agissait alors de textes inédits n’existant que sous leur forme manuscrite. Les brillante recherches conduites par Mgr Basile ont permis de montrer que Grégoire Palamas était l’un des plus grands théologiens de toute la chrétienté et non seulement de la tradition orthodoxe. Les travaux de Mgr Basile sont à la source de l’étude du « palamisme » marquée par la suite par les publications de l’archiprêtre Jean Meyendorff (9), du patrologue grec Panayotis Christou (10) auquel nous devons la première édition critique en cinq volumes de l’œuvre de Grégoire Palamas. De nombreux chercheurs catholiques et protestants contribuèrent à ces études.

C’est encore lorsqu’il était au Mont Athos que Mgr Basile a commencé à s’intéresser à Saint Syméon le Nouveau Théologien mais c’est surtout après s’être installé en Europe Occidentale qu’il fit paraître de nombreuses études consacrées à ce Père de l’Eglise. Saint Syméon le Nouveau Théologien, nous le savons maintenant, est l’un des plus marquants de tous les Pères de l’Eglise. Les lecteurs russes du début du XX siècle connaissaient déjà bien l’œuvre de Saint Syméon. En effet, c’est en au XIX siècle qu’un recueil important des « Catéchèses » de Saint Syméon a été traduit en russe par Saint Théophane le Reclus (11). Une édition russe des « Hymnes » de Saint Syméon a paru en 1917 peu avant la révolution. Le hiéromoine Panteleimon (Ouspensky) était l’auteur de cette traduction (12). Pour ce qui est de la Grèce orthodoxe, il n’y avait là bas pratiquement aucune version en langue moderne des œuvres de Saint Syméon. Mgr Basile en témoigne dans le livre qu’il a consacré à Saint Syméon. Il raconte qu’une fois qu’il s’entretenait avec un évêque grec qui, étonné, posa à Mgr Basile la question. « Qui est donc ce Syméon le Nouveau Théologien dont vous me parlez ? Serait-il russe ? Vous, les Russes, vous inventez toujours des personnages dont personne n’a jamais entendu parler » (13).

Mgr Basile a effectué un immense labeur de recherche, de traduction, de collationnement et de publication des textes des « Catéchèses » de Saint Syméon le Nouveau Théologien. Les résultats de ses efforts ont paru dans la série « Sources chrétiennes ». Neuf tomes de cette série sont consacrés à Saint Syméon dont trois rédigés par Mgr Basile (Krivochéine) (14). Les traductions qui suivirent des écrits de Saint Syméon dans de nombreuses langues européennes se basent pratiquement toutes sur cette édition.

La monographie de Mgr Basile « Saint Syméon le Nouveau Théologien » a été éditée en 1980 à Paris (15). Pendant de longues années cet ouvrage est resté l’unique étude parue en russe et consacrée à ce Père de l’Eglise. Rapidement le livre pu atteindre la Russie où on le diffusait sous sa formé éditée ainsi qu’en « samizdat ». De nombreux chercheurs et croyants ont, grâce à ce livre, pu connaître ce grand Père de l’Eglise.

A propos de l’immense contribution de Mgr Basile aux études patrologiques nous pensons indispensables de rappeler une autre œuvre essentielle de l’archevêque. Il s’agit de sa participation à l’édition du glossaire patristique grec « Greek Patristic Lexicon » édité à Oxford sous la direction du célèbre patrologue Lampe. Ce glossaire patristique reste jusqu’à présent la source la plus riche et la plus fiable consacrée à la langue grecque de l’époque des Saints Pères (16). Mgr Basile a effectué là un travail méticuleux et immense exigeant une très grande érudition, beaucoup de concentration et de temps. Il n’est pas fortuit que cet éminent patrologue a été sollicité pour participer à l’élaboration de ce glossaire dont il est l’un des principaux auteurs (17). La patrologie est une discipline qui continue à aller de l’avant. Les chercheurs s’intéressent de plus en plus au patrimoine laissé par les Pères de l’Eglise. Il peut sembler à certains que les écrits de Mgr Basile appartiennent aujourd’hui au passé. Mais nous ne devons pas oublier qu’au milieu du XX siècle les noms de nombreux Pères de l’Eglise sont devenus bien connus et accessibles ce n’est que grâce au labeur de Mgr Basile.

Mgr Basile a été l’un des découvreurs de la patristique orientale. De nombreux savants orthodoxes russes, ses contemporains étaient privés non seulement de la possibilité de travailler mais, tout simplement, de confesser leur foi. Immuablement fidèle, en ce siècle difficile, à l’Eglise Mère Mgr Basile a su maintenir et développer les traditions de la théologie russe étant intimement convaincu que viendra le jour où sa contribution deviendra l’une des pierres apportées à l’Eglise Orthodoxe Russe renaissante.


  1. Moine Basile (Krivochéine) « La doctrine ascétique et théologique de Saint Grégoire Palamas /Seminarium Kondakovianum ». Recueil d’études. Archéologie, Histoire de l’Art. Études byzantines. Tome VIII. Prague, 1936. C. 99-154
  2. Allocution prononcée par l’archimandrite Basile (Krivochéine) au moment de sa nomination comme évêque de Volokolamsk. « Messager de l’Exarchat du Patriarcat de Moscou en Europe Occidentale, N° 32, Paris, 1959, p. 214.
  3. Père Antoine Lambrechts, « Contacts », Paris
  4. « La Pensée Russe », N° 2997, 2 mai 1974, Paris
  5. Mgr Basile a envoyé un télégramme indigné à Léonid Brejnev et a explicité sa réaction dans la presse belge. Cf. « La Libre Belgique », 26 janvier 1980.
  6. Le moine Basile (Krivochéine) a résidé au monastère Saint Panteleimon de 1924 à 1951.
  7. Moine Basile (Krivochéine) « La doctrine théologique et ascétique de Saint Grégoire Palamas » (Seminarium Kondakovianum. Recueil d’études. Archéologie, Histoire de l’Art. Etudes byzantines. Volume VIII, Prague 1936, p. p. 99-154.
  8. M. Jugie, Palamas Grégorie « Dictionnaire de théologie catholique », vol. XI (2), Paris-VI, Librairie Letouzey et Ané, Paris, 1932, C 1735-1818
  9. J. Meyendorff, « Introduction à l’étude de Grégoire Palamas » ,Paris, Seuil, 1959; J. Meyendorff, « Saint Grégoire Palamas et le mystique orthodoxe », Paris, Seuil (Coll. « Maîtres spirituels »), 1976
  10. Panayotis Christou est un patrologue grec majeur du XX siècle, auteur de l’édition critiques des œuvres de Saint Grégoire Palamas, et de nombre de traductions d’œuvres des Pères de l’Eglise en grec moderne
  11. Saint Syméon le Nouveau Théologien, « Paroles », traduction en russe du grec moderne de l’évêque Théophane, Moscou, 1879
  12. Syméon le Nouveau Théologien « Hymnes divins », avec une icône du Saint Père, une préface de Nicetas Stiphate, disciple de Saint Syméon, traduction du grec de l’hiéromoine Panteleimon (Ouspensky) , Serguiev Possad 1917
  13. Archevêque basile Krivochéine, « Saint Syméon le Nouveau Théologien » (949-1022), Editions de la Fraternité saint Alexandre Névsky, Nijny-Novgorod, 1996
  14. « Syméon le Nouveau Théologien », Catéchèses. Introduction, textes critiques et notes par Mgr Basile Krivochéine. Traduction par Joseph Paramelle, s. j. . Tome I. Catéchèses 1-5 (Sources chrétiennes 96), 1963; tome II. Catéchèses 6-22 {S. C. 104}, 1964; Tome III. Catéchèses 23-34 {S. C. 113}, 1965, Paris
  15. Archevêque Basile Krivochéine « Saint Syméon le Nouveau Théologien » (949-1022), YMCA-PRESS, Paris, 1980; trad. Française. archevêque Basile Krivochéine « Dans la lumière du Christ. Saint Syméon le Nouveau Théologien, 949-1022. Vie, spiritualité, doctrine », Chevetogne, Ed. de Chevetogne (Coll. « Témoins de l’Eglise indivise », 1, 1980
  16. « Patristic greek lexicon ». With addenda et Corrigenda. Edited by J. W. H. Lampe, D. D. , professor in the university of Cambridge, Oxford, 1991, 2 ed.
  17. Mgr Basile est indiqué parmi les quatorze auteurs ayant contribué à l’élaboration du Glossaire.